La CGEM lance la première édition de son Université d’été
La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a donné, vendredi à Casablanca, le coup d’envoi de la première édition de l’Université d’été sur le thème «Une entreprise forte, un Maroc gagnant». Une occasion pour la CGEM de mobiliser ses membres et jouer pleinement son rôle fédérateur des régions et des fédérations professionnelles.
Pendant deux jours, chefs d’entreprises, décideurs publics, universitaires, experts nationaux et internationaux de renom, débattront des enjeux économiques et sociaux auxquels le Maroc fait face et envisageront les solutions les plus adéquates pour renforcer l’émergence du Royaume.
A travers cette édition, la Confédération compte décliner le rôle central de l’entreprise en tant que levier de croissance et dévoilera ses priorités et ses plans d’actions en vue d’anticiper et accompagner les mutations profondes qui affectent notre économie, souligne un communiqué de la CGEM.
Ainsi, des séances plénières, animées par des intervenants de renom représentant le monde économique, académique, social, et politique, donneront un aperçu sur l’intensité des transformations qui impactent notre environnement et aborderont les enjeux liés au monde de l’entrepreneuriat ainsi que le rapport aux instances étatiques, aux partenaires sociaux et aux consommateurs.
Cette édition proposera également un ensemble d’ateliers, pistes de réflexion, traitant de sujets divers en rapport avec l’entreprise, le capital humain, l’évolution technologique, le nouveau rapport au travail, l’internationalisation ou encore la responsabilité sociétale.
Enfin, l’Université d’été de la CGEM sera un espace de rencontres et de découvertes. Le campus sera pour l’occasion aménagé autour de villages, d’espaces informels de débats et de communication sur des sujets aussi variés que l’innovation, les talents, l’offre publique, ou le financement.
L’organisation de cet événement dans un cadre universitaire est «un message fort» quant à la détermination de la Confédération de «placer la jeunesse au cœur de ses programmes d’actions futures» et d’affirmer «la place essentielle du système éducatif dans la préparation du monde de l’entreprise de demain».