ADM fait le point devant la Commission parlementaire chargée du contrôle des Finances Publiques
Le mardi 18 juin, Anouar Benazzouz, DG de la Société Nationale des Autoroutes du Maroc (ADM) a présenté, devant la Commission parlementaire chargée du contrôle des Finances publiques, les grandes lignes de l’évolution récente des fondamentaux de la société durant les cinq dernières années. Lors de cette présentation le DG d’ADM a mis l’accent sur les différents points soulevés par la commission parlementaire, tout en apportant « les réponses et précisions nécessaires ainsi que des éléments d’information supplémentaires expliquant les perspectives d’évolution de la société », précise-ton dans un communiqué de la Société Nationale des Autoroutes du Maroc. Le même communiqué rapport qu’Anouar Bennazouz a abordé, dans sa présentation, les huit points suivants :
- L’orientation stratégique de l’institution
- L’investissement et le financement
- La gouvernance de la gestion financière et administrative de la société
- Les relations financières entre l’Etat et l’institution
- Le contrôle financier de l’Etat
- Le rôle de la société dans le développement
- L’ouverture sur le secteur privé et l’amélioration du climat des affaires
- L’impact de l’activité de la société sur le citoyen
Par ailleurs, la FG d’ADM a souligné que « Le plan de restructuration financière a permis à ADM d’afficher un résultat net positif en 2017, au lieu du terme de 2030 prévu par le contrat-programme 2008-2015. Dans ce sens ADM a pu réduire ses besoins en recapitalisation (que devait assurer l’Etat) de 13 Milliards sur la période 2016-2030 par rapport aux prévisions du contrat-programme ».
Annouar Bennazouz a souligné qu’ADM a, depuis sa création, « investi un peu plus de 55 Milliards de DH pour la construction d’un réseau autoroutier de 1800 KM, plaçant le Maroc en première position en Afrique Nord et en deuxième position sur le continent africain ».
Le DG d’ADM a aussi fait remarqué qu’en 2017 « ADM a adopté une nouvelle stratégie innovante fondée sur 4 axes stratégiques : le redressement de la situation Financière, le client-usager comme priorité absolue, l’adoption d’une nouvelle politique RH en phase avec la nouvelle mission de l’entreprise et la mise en place d’une politique sociale et environnementale ». Et d’ajouter ! « La responsabilité sociétale et environnementale est ainsi devenue une stratégie engageante pour toute l’entreprise et ce à travers le lancement de plusieurs programmes concrets matérialisant l’engagement envers les communautés, le développement et la protection de l’environnement ».