50% des entrepreneurs dans le monde travaillent la moitié de la semaine en dehors de leur bureau  

Les entrepreneurs « nomades » s’affranchissent désormais d’un bureau fixe et développent leur activités hors des frontières grace au coworking et au smartphone.

    Nietzsche, le philosophe, avait déjà anticipé les vertus du nomadisme dans Le Crépuscule des idoles : « Seules les pensées qu’on a en marchant valent quelque chose ». Faire du monde un terrain d’opportunités pour développer son activité est une des réalités présentées dans l’étude « Global Workspace Survey » publiée récemment en 2109 par IWG (International Workplace Group), leader mondial des espaces de travail flexibles et maison mère des marques Regus, Spaces, HQ, Signature et N18.

La mobilité des entrepreneurs entre la France et l’Afrique illustre cette tendance selon Tarek Abou-Zeinab, Country Manager de Regus en Afrique : « Nos clients dans nos centres d’affaires ne sont plus cantonnés à un port d’attache. Ils utilisent notre réseau pour avoir ponctuellement un bureau un peu partout sur le continent. A Paris, Dakar ou Casablanca, ils ont un point de chute pour rencontrer leur partenaires. Ils réservent un bureau privé pour quelques heures via notre application ou viennent directement dans nos espaces de coworking ».

Quand le « Road trip » se transforme en « Office trip »

Certains entrepreneurs, qui se qualifient de « digital nomad », ont mis en place une boîte à outils pour assurer une parfaite continuité de leur business quelque soit leur lieu de travail. C’est le cas de Farid Arab, fondateur de Pure Player, qui organise des événements sur le continent africain, notamment pour l’Organisation internationale de la Francophonie. Le chef d’entreprise qui visite « au moins 4 pays par mois » affirme ne plus avoir de « bureau fixe ». Il dit utiliser « la carte bancaire de la néo-banque Revolut pour éviter tous les frais à l’étranger » et  les espaces de travail flexibles Regus et Spaces pour « avoir un bureau facilement » et une « connexion irréprochable ». Il déclare : « Lorsque j’arrive dans un pays que je ne connais pas, j’opte directement pour le coworking. Cela me permet de rencontrer de nouvelles personnes rapidement ».

Aziz Founti, fondateur de Cooptalent, société de recrutement de développeurs pour les marchés français et marocain affirme :« Quand on me demande où sont mes locaux, je dis un peu partout. J’ai un bureau privé à Regus Villeneuve d’Ascq, j’utilise aussi des bureaux privés de Spaces La Défense quand je suis à Paris. Lors de mes multiples déplacements à Casablanca, mon bureau est alors au centre Zenith de Sidi Maarouf.»

Infa Ibrahim Alassane, Président d’Alstech it Group, intégrateur de solutions informatiques et télécom, basé à La Garenne-Colombes en Région Parisienne, souhaite s’implanter prochainement en Côte d’Ivoire et au Senegal. Je compte utiliser « le réseau Regus présent dans ces pays pour préparer mon implantation. Pour ce faire, je vais faire appel à leur espaces de coworking et demander des contacts aux équipes sur place ».

Ainsi, Regus a crée un maillage puissant de centres d’affaires dans 21 pays d’Afrique qui facilite le déplacement et la bonne marche des affaires des entrepreneurs. La mobilité entre les centres d’affaires devrait être renforcée prochainement avec la mise en place de la Zone de libre-échange continentale africaine.

La marque historique du groupe IWG propose différents espaces de travail flexibles à la carte (bureaux privatifs, espace de coworking, salles de réunion, business lounge) pour tout type d’entreprise : de la start-up au groupe mondial, en mettant l’accent sur l’accessibilité du site et la qualité des bâtiments. Une large gamme de services « clef-en-main » y sont disponibles : secrétariat téléphonique, gestion du courrier, salles de réunion, domiciliation et un accès ultra-performant à l’internet haut débit.

Communiqué

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