Farnek, leader des services de gestion d’installations (FM) intelligents et écologiques aux Émirats arabes unis, a lancé la Farnek Hybrid Unit (FHU), une innovation qui transforme le secteur du nettoyage en intégrant harmonieusement des opérateurs humains avec des robots nettoyeurs intelligents et avancés.
Le concept de l’unité hybride (HU) repose sur une coopération fluide entre les opérateurs humains et les robots, sans distinction de tâche, avec pour objectif principal l’efficacité et la qualité des résultats. « Les unités robotiques prennent en charge les tâches répétitives, le nettoyage de grandes surfaces et les charges lourdes, tandis que les opérateurs se concentrent sur des missions à plus forte valeur ajoutée, comme la désinfection des zones sensibles et le nettoyage localisé », explique Julian Khalil, directeur général de Farnek Services. Cette répartition stratégique des tâches optimise la productivité globale tout en réduisant le chevauchement des heures de travail et les pertes de temps.
Les robots de l’unité hybride sont conçus pour fonctionner de manière autonome aux côtés du personnel opérationnel. Ils effectuent des trajets de nettoyage programmés, se rechargent automatiquement et utilisent des technologies de localisation en temps réel pour éviter les obstacles et les risques potentiels. Grâce à leur capacité de nettoyage allant jusqu’à 5 000 pieds carrés par heure, ces robots garantissent une couverture complète des surfaces, surpassant souvent les performances humaines.
Ces unités robotiques sont équipées de capteurs avancés pour détecter les obstacles, prévenir les chutes et identifier les anomalies lors du nettoyage autonome. Contrairement aux méthodes manuelles, où des zones peuvent être oubliées en raison de la fatigue ou d’erreurs humaines, les itinéraires robotiques sont précis et pré-mappés, assurant ainsi une couverture totale. « Contrairement aux opérateurs humains, les robots peuvent fonctionner 24 heures sur 24 sans fatigue. Cette capacité multi-postes réduit le besoin de main-d’œuvre supplémentaire, en particulier dans les zones à forte fréquentation ou pendant les heures creuses », ajoute Khalil.
Toutes les unités hybrides sont dynamiquement planifiées et suivies via l’application mobile CAFMTEK, développée par la société sœur de Farnek, HITEK AI. Cette application permet aux superviseurs d’accéder en temps réel aux mises à jour des tâches, aux rapports dédiés et aux ajustements instantanés des affectations en fonction de la demande.
Javeria Aijaz, directrice générale de HITEK AI, souligne l’importance de cette intégration numérique : « L’aspect unique de notre modèle hybride réside dans l’utilisation de la technologie IA. La solution digitale CAFMTEK permet de connecter les robots aux équipes de gestion, offrant une surveillance précise, un nettoyage prédictif et une prise de décision basée sur les données en temps réel. »
En optimisant l’utilisation des ressources humaines et robotiques, Farnek réalise d’importantes économies. Contrairement aux employés, les robots ne prennent ni congé ni arrêt maladie et ne souffrent pas de baisse de productivité pendant les quarts de travail. Leur maintenance est prévisible et planifiée, évitant ainsi les coûts imprévus liés aux équipements manuels. « La productivité humaine baisse généralement au fil d’un quart de travail de huit heures, tandis que les unités robotiques maintiennent des performances constantes, réduisant ainsi les coûts liés aux équipes, aux salaires et à la gestion des horaires grâce à une planification automatisée », précise Khalil.
L’unité hybride de Farnek représente bien plus qu’une avancée technologique : c’est une évolution culturelle dans l’approche du nettoyage commercial. Ce modèle axé sur la performance et les données est conçu pour répondre aux défis futurs en matière de propreté et d’efficacité, apportant des solutions innovantes, durables et économiquement viables. « Le lancement de la Farnek Hybrid Unit est un pas transformateur pour offrir des services de nettoyage commercial. C’est une approche avant-gardiste qui combine la technologie et la culture du service pour redéfinir les normes de l’industrie », conclut Aijaz.
