La Fondation de la mosquée Hassan II et l’association «Grand Casablanca Carrières Centrales» signent une convention de partenariat

La Fondation de la mosquée Hassan II et l’association «Grand Casablanca Carrières Centrales» ont procédé, vendredi, à la signature d’une convention de partenariat pour la protection et la valorisation du patrimoine de la région de Casablanca-Settat.

Cette convention, signée par le conservateur de la Fondation, Bouchaib Fokar, et le président de l’association, le professeur Mustapha Aboumaarouf, vise à consolider les actions communes des deux parties, en vue de mettre en valeur les différents aspects du patrimoine de la région.

Selon M. Fokar, cette convention traduit la volonté des deux parties de créer l’équilibre entre les paramètres matériels, culturels et spirituels particulièrement au niveau de la ville de Casablanca, de manière à refléter l’esprit de cette ville et ses composantes civilisationnelles et valoriser la contribution des intellectuels à l’enrichissement de son patrimoine immatériel.

Cette initiative est en parfaite symbiose avec l’esprit de la mission de la Fondation, qui œuvre à encourager le dialogue entre tous les courants intellectuels et culturels, a-t-il indiqué. Et d’ajouter que le partenariat entre la Fondation de la mosquée Hassan II et «Grand Casablanca Carrières Centrales» intervient dans un contexte d’ouverture permanent sur les composantes de la société civile, surtout celles actives dans les domaines culturel et scientifique.

De son côté, le président de l’association a estimé que cette convention vise à institutionnaliser la collaboration entre les deux parties pour garantir une continuité à toutes les actions déjà enclenchées, notamment via la création d’un centre de référence qui rassemblera les études et les recherches ayant pour thématique l’histoire et le patrimoine casablancais.

Soulignons qu’en marge de la cérémonie de signature de cette convention, un débat sur le thème «La citoyenneté et la nouvelle perspective de développement» a été animé par le chercheur universitaire Abdelaziz Karaki.

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